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Revue de Management et de Stratégie
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Changement et digitalisation des organisations : Eurogroup Consulting promeut la transformation positive




La Rédaction


Le changement organisationnel n’est pas une mécanique froide. En plaçant au cœur de sa réflexion l’adhésion des Hommes aux projets de transformation, le cabinet de conseil en stratégie et en organisation se positionne comme le spécialiste de la « transformation positive ». Une philosophie du métier qui repose sur des exigences professionnelles fortes, mais aussi sur une certaine vision sociétale du changement.



© Eurogroup Consulting
© Eurogroup Consulting
« La révolution numérique a vraiment changé la donne », explique Gilles Bonnenfant, Président d’Eurogroup Consulting. « Les délais sont plus courts que jamais. La gestion d’équipe, la conception de projet, la transformation du client, le développement de nos équipes… Tout s’est accéléré. Nous devons donc être agiles et réactifs ».
 
Dans ce contexte d’accélération des mutations – technologiques mais aussi humaines, sociétales et environnementales – le métier du conseil en stratégie, management et organisation exige donc une évolution permanente. En outre, la rémanence du changement dans les entreprises peut entraîner une certaine lassitude des salariés, d’autant plus que le changement est parfois perçu comme une injonction synonyme de sacrifices et de contraintes. Il s’agit donc de prendre en compte dans ces projets, le facteur humain et l’acceptation du changement.
 
« Transformation positive »
 
Accompagnant ses quelque 200 clients, entreprises privées ou entités publiques, dans des projets de transformation complexe, Eurogroup Consulting se voit ainsi avant tout comme « générateur de transformation positive ». « Nous faisons le lien entre la créativité et l’écoute, et nous offrons à nos clients un écosystème diversifié qui leur permet de se transformer en profondeur et de façon pérenne, affirme Gilles Bonnenfant. Et pour qu’une transformation soit pérenne, il faut non seulement qu’elle soit décidée, engagée et soutenue par les dirigeants, mais il faut aussi qu’elle soit vécue, acceptée, comprise et portée par ceux qui la vivent. Les changements ont toujours lieu pour une raison, il faut en décliner le sens et expliquer ce que cela implique ».
 
La philosophie du cabinet de conseil, qui revendique haut et fort son « européanité  » en signe de différenciation, est donc de créer de la valeur par la mobilisation des femmes et des hommes qui vivent au quotidien la complexité d’un environnement économique, professionnel et technique en perpétuelle ébullition. Car selon Gilles Bonnenfant, il n’y a « pas de transformation réussie sans vision sociétale, et c’est le rôle de tout dirigeant d’exprimer cette vision propre à donner du sens à ses équipes ».
 
« L’auditeur qui vient contrôler inspire la peur et ne mobilise pas les équipes positivement. En revanche, le consultant qui prend le temps de la compréhension, de l’accompagnement et de l’adaptation, saura faire passer les personnes concernées d’un point A à un point B de façon positive, souligne le président d’Eurogroup Consulting. C’est tout l’art de la mobilisation réelle, à l’inverse de la procédure froide et plaquée ».
 
Le cabinet de conseil accompagne en effet des projets qui peuvent être « inspirants », comme d’autres plutôt jugés « anxiogènes » par les directions générales, allant de la transformation digitale à la réduction des coûts et aux plans sociaux, en passant par l’innovation managériale et l’optimisation des organisations. « L’objectif consiste à s’appuyer sur les talents de l’entreprise et à insuffler de nouvelles trajectoires, détaille Gilles Bonnenfant. C’est pourquoi ces projets ne peuvent s’envisager sans une logique éminemment humaine ». La plupart des entreprises l’ont bien compris et la concertation avec tous les collaborateurs tend à s’imposer de plus en plus au sein des organisations. « Les entreprises que nous accompagnons débordent de créativité pour ne laisser personne au bord du chemin », précise le dirigeant.
 
Une boîte à outils à la disposition du client
 
Eurogroup Consulting a ainsi développé des outils très concrets pour faire participer le plus grand nombre de personnes lorsqu’il intervient dans une société. Le spécialiste de la transformation positive dispose par exemple d’une plateforme digitale baptisée Mob’Up qui permet de mobiliser un grand nombre de collaborateurs en temps réel. L’entreprise a également développé un certain nombre d’ateliers qui ont vocation à sensibiliser et à fédérer les équipes autour des projets de transformation et à les rendre acteurs des changements. Elle peut aussi, si besoin, déployer une équipe qui fera du coaching personnalisé et de la médiation afin de mettre en place cette adhésion aux projets. Une vaste boîte à outils mise à la disposition des clients.
 
Eurogroup Consulting revendique cette approche sociétale des changements organisationnels, cette philosophie du métier attentive à l’adhésion des collaborateurs. L’entreprise ne souhaite pas non plus s’aligner sur une méthode, un produit ou un principe. Une indépendance qui représente un vrai facteur différenciant dans un monde du conseil très codifié par les pratiques anglo-saxonnes. Selon Gilles Bonnenfant, l’archétype du consultant idéal est celui « curieux des sujets, des techniques, des cultures et des personnes. Il a de la rigueur professionnelle et sait sortir de son espace. Il doit être audacieux, empathique et humble. »
 
De quoi réconcilier avec le métier une frange de l’opinion, fâchée par une vision stéréotypée du consultant cynique et hors-sol. Mais si Eurogroup Consulting peut se prévaloir d’être une entreprise exigeante « en termes de savoir-faire et de savoir-être » vis-à-vis de ses consultants, c’est aussi parce qu’elle attend de ses managers « qu’ils soient inspirants et structurants ». « Nous considérons que la hiérarchie du quotidien est fondée sur l’engagement, la compétence et l’initiative et non sur le titre et l’organigramme », explique ainsi Gilles Bonnenfant, estimant au passage que « le manager idéal est celui qui fait grandir les équipes ». De quoi nourrir, aussi, l’adhésion des consultants au projet de leur président.